Joseba Lakarra
      

 
« En más de una ocasión, el desprecio de la historia real y  conocida (no de la prehistoria más o menos discutible) ha llegado hasta utilizar otra falseada o inventada ad hoc para 'consolidar' explicaciones y reconstrucciones en otros campos, o meramente clasificaciones y supuestos parentescos de la lengua [vasca] sobre cimientos muy endebles ».

 

 

 Joseba Lakarra 

 Oihenart. Cuadernos de Lengua y Literatura


            


 

 

 

 
 Inscription de Liria
GUDUA : DEITZTEA ou CUTUA : TEITZTEA / TEISTEA

 

RÉSUMÉ
Joseba Lakarra, un enseignant-chercheur spécialisé dans la reconstruction de ce qu’on appelle communément dans les cercles initiés le « proto-basque », a dernièrement, dans un article publié dans la revue savante Oihenart. Cuadernos de Lengua y Literatura, émis des remarques critiques, et disons-le dès à présent et sans ambages, polémiques au sujet de nos recherches sur la problématique « basco-ibérique ». Ces observations fort critiques nous paraissent en effet à bien des égards singulières, voire discutables, et nous obligent en conséquence à réagir car elles ne correspondent manifestement pas à la réalité des faits et des seuls faits historiques connus concernant cette question.
 

A propósito del nombre vasco de la « plata » : nueva etimología   

 

Inscripción ibérica de Sinarcas (Valencia) 

 

Ya hace tiempo que existen dudas sobre un origen gótico o celtibérico de la palabra vasca zilhar(r) o zilar(r), 'plata', aunque dicha hipótesis indoeuropea estuvo en una época y sigue estando todavía hoy en día muy de moda. Algunos autores han pensado que la « palabra » Haritschelhar, var. Haritschelar, siendo hoy en día Haritzelhar o Haritzelar la grafía euskérica moderna de este nombre, podría proceder o explicarse por *haritz-el(h)ar(r), « roble situado entre brezos » (elhar(r) en dialecto labortano es « brezo »). Haritschelhar(r) es un apellido suletino. En realidad se trata del nombre, sin ninguna duda muy arcaico, de dos casas de la provincia de Sola o Zuberoa, estando situada una de ellas, cuyo nombre aparece escrito según el IGN francés Haritchelar, en el pueblecito suletino llamado Ligi-Atherei, fr. Licq-Athérey, y ubicada la otra, cuyo nombre en cambio se escribe Haritchelhar, o sea con -lh-, en otro pueblecito, también suletino, llamado Barkoxe, fr. Barcus.

 

 

 

LABURPENA

Autoreak guti ezaguna den « euskal-iberiar » antzekotasun bat orroitarazten du eta « ezin esplikatuzko »-tzat ekartzen den galiziar toponimo historiko eta arras ezezagun batekin konparatzen du.

 

RESUMEN

El autor recuerda una similitud « vasco-ibérica » y la compara con un topónimo histórico gallego hasta ahora sin explicación.

 

RÉSUMÉ

L’auteur fait ressortir une similitude « basco-ibérique » peu connue et la compare avec un toponyme historique galicien inexpliqué.

 

ABSTRACT

The author reminds us of a similarity between Basque and Iberian and compares it with a until-now-unexplained historical Galician toponym. 

 

 


L'inscription ibérique de San Miguel de Liria et le basco-ibérisme en général   

 

 « J’ai en particulier noté l’ironie des retournements idéologiques : aux XVIIIe et XVIIIe siècles, les apologistes du basque le considéraient comme une survivance de l’ibère, tandis que cette opinion était rejetée par les « espagnolistes » ; mais il y a une centaine d’années environ, avec la naissance du nationalisme basque proprement dit, il devenait tentant pour les uns de souligner toute absence de parenté avec les autres, et par suite de renoncer à l’hypothèse basco-ibérique, et, inversement, pour ces mêmes autres, de réduire au maximum la spécificité basque, et donc de défendre l’idée qu’ils avaient combattue auparavant. »

Georges Rebuschi,

Bulletin de la Société Linguistique de Paris, 1997, p. 734.

 

Plomb d’Alcoy (s. VI av. J.-C.)

 

 

 

 

LABURPENA

Egileak hipotesi berri bat proposatzen du San Migel Liriako inskripzio iberiar ospetsu eta misteriotsuari buruz. Era berean « euskal-iberiar » auzia ikertzen du berriro eta oraino argitu gabe dagoela orroitarazten du. Hain garden, begibistako eta ezin ukatuzkoak dira toponimia-antzekotasun batzu ezen azaldu beharra baitago. 

 

RESUMEN

El autor propone una nueva hipótesis para intentar explicar la inscripción de San Miguel de Liria. Vuelve a plantear la cuestión « vasco-ibérica » al recordar que todavía no ha sido totalmente esclarecida y señala que varias similitudes toponímicas « vasco-ibéricas » requieren por lo menos un intento de explicación.

 

RÉSUMÉ

L’auteur propose une nouvelle hypothèse en ce qui concerne la célèbre et énigmatique inscription ibère de San Miguel de Liria. Il reprend également la question « basco-ibère » et rappelle que cette question est loin d’être élucidée. Plusieurs similitudes toponymiques « basco-ibères » sont tellement transparentes et évidentes qu’elles demandent á être expliquées. La question de la parenté « basco-ibère » semble à nouveau être posée.

 

ABSTRACT

The author forwards a new hypothesis concerning the well-known and enigmatic Iberian inscription of San Miguel de Liria. He takes a fresh look at the « Basque-Iberian » issue, reminding us that this question has not been clarified to any significant degree. Several « Basque-Iberian » toponymic similarities are so clear, obvious and undeniable that they demand an explanation. It would appear that the question of the « Basque-Iberian » link is being posed once more.

 


 

 
 



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